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Quelques images des vestiges...
Vue générale du sud-ouest depuis la route de Syam à Bourg-de-Sirod.
Bien sûr... Le site n'est plus tout à fait dans cet état aujourd'hui (les familiers du secteur l'auront remarqué). Consolons nous vite, car si tel était le cas, le parking au départ de la promenade aux ruines du château serait beaucoup plus étendu, et bien sûr payant. Les derniers agriculteurs du village auraient été sans doute expropriés ou auraient fui devant l'affluence des touristes, et surtout nous n'aurions plus aucune chance de croiser une harde de chamois pendant son ascension comme c'est aujourd'hui très fréquemment le cas !
Vue générale (sans montage cette fois) sud-ouest du site. Au sommet de la crête à gauche : Ruines du front d'entrée de la haute-cour. Février 2014.
Tour porche d'accès à RIchebourg depuis le bourg dessous, barrant une tranchée taillée dans le roc.
Tour porche contrôlant l'accès au bourg-dessus depuis le bourg-dessous (Bourg-de-Sirod). Face nord à gauche et sud à droite.
Vestiges d'une cave de la dernière maison occupée du bourg dessus après la tour porche. Abandonnée en 1944.
Citerne en coupole à demi enterrée le long de l´axe principal de Richebourg.
Chapelle (XIIe siècle) à la sortie de Richebourg, bordant le chemin vers Sirod.
En contre-bas de la crête à l'est : Sirod. A droite derrière l'église : Château de Montrichard (maison forte du XVIe siècle)
Mur intérieur bordant le couloir d'accès sud à la première basse-cour (emplacement de la tour porche décrite par Rousset ayant fait office de salle de garde).
Flanc sud de la haute-cour. A gauche : Ancienne tour porche d'accès à la haute cour (porte comblée au XIVe siècle et aménagement de bouches à feu au XV ou XVIe siècle). A droite : Tour ronde munie de fentes de tir.
Détail de la tour ronde au sud-est de la haute-cour : Archère à étrier
Tour porche d´entrée sud de la haute cour. A noter le ressaut sur le pas de la porte murée et ajourée contre lequel pouvait s' épauler une passerelle prolongée par un pont-levis déporté, disparus après condamnation de cet accès. En vis à vis une contre-escarpe de fossé a pu être arasée au cours des remaniements ultérieurs.
Intérieur de l'ancienne tour porche d'accès sud à la haute cour. Rainure de guidage de la herse interdisant l´accès avant sa condamnation.
Regard de la citerne de la haute cour et aperçu de l'intérieur. Clichés de 1989.
Rempart d'extrémité nord, sa porte cochère et une des neuf fentes de tir à double ébrasement et arc surbaissé. Cliché de 1989 (arc de la fente de tir à gauche effondré aujourd´hui). Ici aussi, tout semble indiquer qu'une passerelle et un pont-levis déporté franchissaient le fossé dont la contre-escarpe a disparu.
Front d'entrée nord. Vue intérieure d'une baie à double chanfrein et arc surbaissé. Cliché de 1989.
Mur circulaire de base d´un moulin chandelier (probable) sans doute du XVIe siècle ou postérieur (situé un peu au nord du château)
La dernière "commère" encore debout... (elles étaient encore trois au XIXe siècle) au nord du château, dominant la vallée de l'Ain et Sirod. Ces statues géantes naturelles (reliquats de roches plus dures épargnées par l'érosion) nourrissaient probablement une partie des légendes gravitant autour du château, et ont peut-être bien avant inspiré les anciens pour vénérer et honorer la manifestation terrestre de ces divinités par l'édification de temples païens oubliés jusqu'ici...
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